Maxime en connection avec la nature dans un village au Pérou

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Maxime en connection avec la nature dans un village au Pérou

Mon projet

Pourquoi j’ai décidé de partir :

Après une année difficile entre faculté et restauration rapide, je cherchais le moyen de reprendre mon souffle, j'ai donc effectué ce voyage en partie pour me retrouver et aussi pour découvrir une culture et une langue alors inconnus pour moi.

Je raconte mon séjour en quelques lignes :

Mon projet était de répertorier les espèces végétales sur des communautés indigènes, vivre et partager avec eux. Finalement, j'ai eu de nouvelles idées pendant le stage que j'ai mis en place avec l'aide d'autres volontaires ou tout seul. J'ai apprit petit à petit à parler l'espagnol et comment vivre simplement. L'expérience est brute et je pense que c'est pour cela que j'en garderais un souvenir incroyable et fort en émotions.

Mon conseil pour les jeunes comme moi :

Je n'avais pas économisé beaucoup avant de partir car mon projet c'est construit rapidement, ce genre de programme est super car il m'a permit de vivre mon aventure. Si vous voulez partir, vous pouvez, beaucoups de gens m'ont dit que j'avais de la chance, je pense seulement que j'ai toujours cru en mon projet et il c'est réalisé. N'ayez pas peur de rêver, aucune destination n'est trop loin ( à part Mars peu être ).

Mes bons plans sur place

Se loger : Iquitos : hostel Casa del Francès, Flying dogs

Se déplacer : bus pour un sole mais les mototaxis restent également peu chers

Manger : mercado central, ou bélèn, et pour ce faire plaisir la malécòn

Sortir : ferme aux papillons, plage

Se cultiver : quelques musées comme celui indigène (malécon) mais assez cher

Les prix moyens sur place (en monnaie locale)

Un loyer / mois : 600s

Un ticket de bus / métro : 2s

Un restau : 20s

Un café : 3s

Les mots de la fin

Mon séjour en trois mots : climat, chant, amazone

Qu'est-ce qui me manque le plus : le fromage !

L'anecdote : Au début de mon séjour dans un village indigène, je me suis réveillé la nuit pour uriner prestement et j'ai oublié que la maison était sur pilotis, ma chute dans la boue m'a valu 3 mois de moqueries de la part des indigènes.

Ce à quoi je ne m'attendais pas du tout : se sentir intégrë au village, à sa famille d'acceuil, on en oublierais presque de revenir !

Le plus difficile pour moi : les moustiques, tabanos, sancudos, le pays des piqures !

Une chose incroyable que j'ai faite : attraper des bébés caïmans la nuit

Organisme d'accompagnement : Région Bourgogne-Franche-Comté

Coordinateur technique : Info Jeunes de Bourgogne-Franche-Comté

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